Image et packaging d’une nouvelle bière italienne

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L’une des forces du studio est de constituer une équipe «large» pour chaque projet individuel, rassemblant différentes réalités, italiennes et non, capables d’apporter des compétences spécifiques, toujours au niveau de l’excellence.

Il s’agit d’une nouvelle marque de «blondes» produite par la Brasserie Ventitré , une petite entreprise Irpinia basée à Grottaminarda, au centre de la vallée d’Ufita, qui produit des bières artisanales non filtrées ou pasteurisées avec une grande attention à l’éco-durabilité.
Track21 est une idée de BasileADV et du calligraphe italien Giuseppe Salerno , fondateur, avec le designer espagnol Paco González, de la fonderie d’impression Resistance , basée à Valence.

Si 21 indique l’année, celle-ci, dans laquelle vous essayez lentement de recommencer après un 2020 infernal, Track fait référence au chemin, au voyage: «vouloir souligner le chemin écrasant de cette bière, ainsi que notre chemin., préférant comme choix final la définition de piste, ou binaire, qui indique ce point de jonction que l’on a l’habitude de traverser en tant de moments qui composent la vie et qui unit fondamentalement un départ et une arrivée indispensable », rapporte le communiqué.

Après avoir choisi le nom, le logo a été créé à l’aide de caractères conçus spécifiquement pour le projet, différenciant les polices des deux éléments – Track et 21 – et se concentrant, pour le premier, sur « un style gracieux, tout en majuscules et incliné, avec un contraste élevé et beaucoup de poids, qui joue habilement entre l’épaisseur des lignes fines et des lignes très lourdes et qui rappelle les caractères ferroviaires ».

Les couleurs choisies sont le bleu outremer et la feuille de cuivre (par Luxoro ) tandis que la bouteille, produite par la société espagnole Estal , est délibérément pleine de « bosses » – car le voyage laisse sa marque, ainsi que les chemins possibles s’entremêlent à travers les bandes qui caractérisent une étiquette riche en informations: les ingrédients bien sûr, mais aussi les coordonnées géographiques de la Brasserie Ventitré, le cachet typique de la poste aérienne, la rose des vents, les références à la Méditerranée et, plus généralement, au charme de l’errance.

De couleur cuivre également pour la casquette, qui surplombe un col avec le T de Track .

La brochure qui accompagne chaque bouteille fait également référence au concept de départ.
Inspiré d’un carnet de billets, il montre toutes les réalités et les professionnels qui ont participé au projet. Chaque page, imprimée sur papier chameau Savile Row Plain of Fedrigoni, est réalisée avec des caractères Norman et Auster , dessinés par résistance, et des chiffres gravés à la main avec des caractères de plomb.

Enfin, le packaging, créé par Grafica Nappa di Aversa et réalisé avec du papier couplé (toujours Savile Row Plain de Fedrigoni), sur lequel apparaît le logo, un message sur le sens du voyage (également composé avec la police Norman ) et un espace pour la dédicace – ☞ POUR – sur laquelle inscrire le nom de la personne qui recevra la bouteille en cadeau.
Il y a même une ouverture spéciale pour faciliter le transport.

Et si chaque projet est un voyage en soi, beaucoup y ont participé.

Outre Andrea Basile de BasileADV (idéation et direction créative), Giuseppe Salerno de Resistenza (concept et typographie), Birrificio Ventritré (production), Luxoro (effets métalliques clichés), Estal (bouteilles), Fedrigoni (papier) et Graphics Nappa (packaging), Chiara De Berardinis (copywriting), Ost-design (photographie + animation, ce dernier travail de Naomi Turco , récemment paru ici sur Frizzifrizzi pour un livre illustré ), Labelado (impression d’étiquettes), Arconvert(qui fait partie du groupe Fedrigoni et a produit le papier autocollant pour étiquettes) et Lucarelli (impression sur papier).

Le résultat final est une démonstration claire d’au moins quelques vieux proverbes – «l’unité fait la force» et «la bonne compagnie pendant un voyage rend la route plus courte» – à laquelle, pour ceux qui la consomment, ajoute un Irlandais: «Là il n’y a pas de bière au paradis et c’est pourquoi nous buvons i

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